Surface couleur - Série 14 2E
1971
acrylique sur toile
200 x 200 centimètres
Les toiles "Surface Couleur Série 14 2 E" (1971) et "Couleur Série 14 n° 9 "(1972), issues d'une série qu'il amorce en 1970, marquent chez lui une étonnante résurgence de la peinture, une pratique qu'il avait écartée de façon programmatique avec les membres du Groupe en 1960. Comme la plupart de ses œuvres, une "Cible" est une structure minimale et "déductive", c'est-à-dire dont chaque nouvel élément est issu du précédent. Elle est systématiquement constituée de quatorze cercles concentriques, peints en aplats stricts sur le fond blanc de toiles carrées (d'un format allant jusqu'à 2 x 2 m). Le choix des couleurs, lui aussi, répond à une logique rationnelle, héritée de Max BILL, que LE PARC instaure en 1959 dans une série d'études sur papier et papier-calque ("Projet couleur n° 2, 9 et 14") puis écarte en 1960. Ce système est volontairement simple et explicite: selon une règle combinatoire élémentaire, chacun des quatorze cercles est peint d'une des quatorze couleurs du spectre, définies à l'avance. Ce principe courant d'une œuvre à l'autre de la série, chaque combinaison constitue ainsi un nouveau tableau « unique ».
Surface couleur - Série 14 E n° 12
1971
acrylique sur toile
100 x 100 centimètres
Les toiles "Surface Couleur Série 14 2 E"" (1971) et "Couleur Série 14 n° 9" (1972), issues d'une série qu'il amorce en 1970, marquent chez lui une étonnante résurgence de la peinture, une pratique qu'il avait écartée de façon programmatique avec les membres du Groupe en 1960. Comme la plupart de ses œuvres, une "Cible" est une structure minimale et "déductive", c'est-à-dire dont chaque nouvel élément est issu du précédent. Elle est systématiquement constituée de quatorze cercles concentriques, peints en aplats stricts sur le fond blanc de toiles carrées (d'un format allant jusqu'à 2 x 2 m). Le choix des couleurs, lui aussi, répond à une logique rationnelle, héritée de Max BILL, que LE PARC instaure en 1959 dans une série d'études sur papier et papier-calque (Projet couleur n° 2, 9 et 14) puis écarte en 1960. Ce système est volontairement simple et explicite: selon une règle combinatoire élémentaire, chacun des quatorze cercles est peint d'une des quatorze couleurs du spectre, définies à l'avance. Ce principe courant d'une œuvre à l'autre de la série, chaque combinaison constitue ainsi un nouveau tableau « unique ».
Surface couleur - Série 14 n°9
1971
acrylique sur toile
171 x 171 centimètres
Les toiles "Surface Couleur Série 14 2 E"" (1971) et "Couleur Série 14 n° 9" (1972), issues d'une série qu'il amorce en 1970, marquent chez lui une étonnante résurgence de la peinture, une pratique qu'il avait écartée de façon programmatique avec les membres du Groupe en 1960. Comme la plupart de ses œuvres, une "Cible" est une structure minimale et "déductive", c'est-à-dire dont chaque nouvel élément est issu du précédent. Elle est systématiquement constituée de quatorze cercles concentriques, peints en aplats stricts sur le fond blanc de toiles carrées (d'un format allant jusqu'à 2 x 2 m). Le choix des couleurs, lui aussi, répond à une logique rationnelle, héritée de Max BILL, que LE PARC instaure en 1959 dans une série d'études sur papier et papier-calque (Projet couleur n° 2, 9 et 14) puis écarte en 1960. Ce système est volontairement simple et explicite: selon une règle combinatoire élémentaire, chacun des quatorze cercles est peint d'une des quatorze couleurs du spectre, définies à l'avance. Ce principe courant d'une œuvre à l'autre de la série, chaque combinaison constitue ainsi un nouveau tableau « unique ».
Surface couleur - Série 15 E n° 11
1970
acrylique sur toile
100 x 100 centimètres
Les toiles "Surface Couleur Série 14 2 E"" (1971) et "Couleur Série 14 n° 9" (1972), issues d'une série qu'il amorce en 1970, marquent chez lui une étonnante résurgence de la peinture, une pratique qu'il avait écartée de façon programmatique avec les membres du Groupe en 1960. Comme la plupart de ses œuvres, une "Cible" est une structure minimale et "déductive", c'est-à-dire dont chaque nouvel élément est issu du précédent. Elle est systématiquement constituée de quatorze cercles concentriques, peints en aplats stricts sur le fond blanc de toiles carrées (d'un format allant jusqu'à 2 x 2 m). Le choix des couleurs, lui aussi, répond à une logique rationnelle, héritée de Max BILL, que LE PARC instaure en 1959 dans une série d'études sur papier et papier-calque (Projet couleur n° 2, 9 et 14) puis écarte en 1960. Ce système est volontairement simple et explicite: selon une règle combinatoire élémentaire, chacun des quatorze cercles est peint d'une des quatorze couleurs du spectre, définies à l'avance. Ce principe courant d'une œuvre à l'autre de la série, chaque combinaison constitue ainsi un nouveau tableau « unique ».