Blade Portraits
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Blade Portraits

Blade Portraits
2012
photographie couleur, contrecollée, encadrée, coupée
47 x 40 centimètres
pièce unique

Chaque œuvre de cette série inédite est le tirage photographique encadré d'une fleur — souvent vue de dos, tendant sa nuque à un châtiment capital— et dont le cadre a été coupé de part en part, laissant tombé dans la partie inférieure, le haut de la photographie, à la manière d'une lame glissant dans la fenêtre d'une guillotine. Chaque "Blade Portrait" est en réalité un "portrait de lames". S'y stratifie une série d'exclusions et de coupures : une fleur est coupée, celle-ci est ensuite recoupée par le cadrage photographique que vient répéter le cadre en bois contenant l'image, l'ensemble (photo et cadre) est coupé une dernière fois à la scie circulaire. "Blade Portraits" est ainsi une tentative de dresser le portrait en creux de toutes les lames ayant contribué à l'œuvre. Derrière la littéralité de ce jeu de coupes mises en abîme, Etienne CHAMBAUD cherche une nouvelle fois à définir de manière rétroversée l'œuvre d'art ou son exposition qu'il considère en tant que cadrages, c'est-à-dire autant comme des procédés d'inclusions que d'exclusions. En titrant cette série "Blade Portraits", l'artiste insiste non pas sur ce que les photographies montrent —une fleur, mais au contraire, sur ce qu'elles excluent, mais qui les a paradoxalement crée: des coupes.

Blade Portraits
2012
photographie couleur, contrecollée, encadrée, coupée
47 x 40 centimètres
pièce unique

Chaque œuvre de cette série inédite est le tirage photographique encadré d'une fleur — souvent vue de dos, tendant sa nuque à un châtiment capital— et dont le cadre a été coupé de part en part, laissant tombé dans la partie inférieure, le haut de la photographie, à la manière d'une lame glissant dans la fenêtre d'une guillotine. Chaque "Blade Portrait" est en réalité un "portrait de lames". S'y stratifie une série d'exclusions et de coupures : une fleur est coupée, celle-ci est ensuite recoupée par le cadrage photographique que vient répéter le cadre en bois contenant l'image, l'ensemble (photo et cadre) est coupé une dernière fois à la scie circulaire. "Blade Portraits" est ainsi une tentative de dresser le portrait en creux de toutes les lames ayant contribué à l'œuvre. Derrière la littéralité de ce jeu de coupes mises en abîme, Etienne CHAMBAUD cherche une nouvelle fois à définir de manière rétroversée l'œuvre d'art ou son exposition qu'il considère en tant que cadrages, c'est-à-dire autant comme des procédés d'inclusions que d'exclusions. En titrant cette série "Blade Portraits", l'artiste insiste non pas sur ce que les photographies montrent —une fleur, mais au contraire, sur ce qu'elles excluent, mais qui les a paradoxalement crée: des coupes.

Blade Portraits
2012
photographie couleur, contrecollée, encadrée, coupée
47 x 40 centimètres
pièce unique

Chaque œuvre de cette série inédite est le tirage photographique encadré d'une fleur — souvent vue de dos, tendant sa nuque à un châtiment capital— et dont le cadre a été coupé de part en part, laissant tombé dans la partie inférieure, le haut de la photographie, à la manière d'une lame glissant dans la fenêtre d'une guillotine. Chaque "Blade Portrait" est en réalité un "portrait de lames". S'y stratifie une série d'exclusions et de coupures : une fleur est coupée, celle-ci est ensuite recoupée par le cadrage photographique que vient répéter le cadre en bois contenant l'image, l'ensemble (photo et cadre) est coupé une dernière fois à la scie circulaire. "Blade Portraits" est ainsi une tentative de dresser le portrait en creux de toutes les lames ayant contribué à l'œuvre. Derrière la littéralité de ce jeu de coupes mises en abîme, Etienne CHAMBAUD cherche une nouvelle fois à définir de manière rétroversée l'œuvre d'art ou son exposition qu'il considère en tant que cadrages, c'est-à-dire autant comme des procédés d'inclusions que d'exclusions. En titrant cette série "Blade Portraits", l'artiste insiste non pas sur ce que les photographies montrent —une fleur, mais au contraire, sur ce qu'elles excluent, mais qui les a paradoxalement crée: des coupes.

Blade Portraits
2012
photographie couleur, contrecollée, encadrée, coupée
80 x 67 centimètres
pièce unique

Chaque œuvre de cette série inédite est le tirage photographique encadré d'une fleur — souvent vue de dos, tendant sa nuque à un châtiment capital— et dont le cadre a été coupé de part en part, laissant tombé dans la partie inférieure, le haut de la photographie, à la manière d'une lame glissant dans la fenêtre d'une guillotine. Chaque Blade Portrait est en réalité un "portrait de lames". S'y stratifie une série d'exclusions et de coupures : une fleur est coupée, celle-ci est ensuite recoupée par le cadrage photographique que vient répéter le cadre en bois contenant l'image, l'ensemble (photo et cadre) est coupé une dernière fois à la scie circulaire. "Blade Portraits" est ainsi une tentative de dresser le portrait en creux de toutes les lames ayant contribué à l'œuvre. Derrière la littéralité de ce jeu de coupes mises en abîme, Etienne CHAMBAUD cherche une nouvelle fois à définir de manière rétroversée l'œuvre d'art ou son exposition qu'il considère en tant que cadrages, c'est-à-dire autant comme des procédés d'inclusions que d'exclusions. En titrant cette série "Blade Portraits", l'artiste insiste non pas sur ce que les photographies montrent —une fleur, mais au contraire, sur ce qu'elles excluent, mais qui les a paradoxalement crée: des coupes.

Blade Portraits
2012
photographie couleur, contrecollée, encadrée, coupée
80 x 67 centimètres
pièce unique

Chaque œuvre de cette série inédite est le tirage photographique encadré d'une fleur — souvent vue de dos, tendant sa nuque à un châtiment capital— et dont le cadre a été coupé de part en part, laissant tombé dans la partie inférieure, le haut de la photographie, à la manière d'une lame glissant dans la fenêtre d'une guillotine. Chaque Blade Portrait est en réalité un "portrait de lames". S'y stratifie une série d'exclusions et de coupures : une fleur est coupée, celle-ci est ensuite recoupée par le cadrage photographique que vient répéter le cadre en bois contenant l'image, l'ensemble (photo et cadre) est coupé une dernière fois à la scie circulaire. "Blade Portraits" est ainsi une tentative de dresser le portrait en creux de toutes les lames ayant contribué à l'œuvre. Derrière la littéralité de ce jeu de coupes mises en abîme, Etienne CHAMBAUD cherche une nouvelle fois à définir de manière rétroversée l'œuvre d'art ou son exposition qu'il considère en tant que cadrages, c'est-à-dire autant comme des procédés d'inclusions que d'exclusions. En titrant cette série "Blade Portraits", l'artiste insiste non pas sur ce que les photographies montrent —une fleur, mais au contraire, sur ce qu'elles excluent, mais qui les a paradoxalement crée: des coupes.

Blade Portraits
2012
photographie couleur, contrecollée, encadrée, coupée
65 x 52 centimètres
pièce unique

Chaque œuvre de cette série inédite est le tirage photographique encadré d'une fleur — souvent vue de dos, tendant sa nuque à un châtiment capital— et dont le cadre a été coupé de part en part, laissant tombé dans la partie inférieure, le haut de la photographie, à la manière d'une lame glissant dans la fenêtre d'une guillotine. Chaque "Blade Portrait" est en réalité un "portrait de lames". S'y stratifie une série d'exclusions et de coupures : une fleur est coupée, celle-ci est ensuite recoupée par le cadrage photographique que vient répéter le cadre en bois contenant l'image, l'ensemble (photo et cadre) est coupé une dernière fois à la scie circulaire. "Blade Portraits" est ainsi une tentative de dresser le portrait en creux de toutes les lames ayant contribué à l'œuvre. Derrière la littéralité de ce jeu de coupes mises en abîme, Etienne CHAMBAUD cherche une nouvelle fois à définir de manière rétroversée l'œuvre d'art ou son exposition qu'il considère en tant que cadrages, c'est-à-dire autant comme des procédés d'inclusions que d'exclusions. En titrant cette série "Blade Portraits", l'artiste insiste non pas sur ce que les photographies montrent —une fleur, mais au contraire, sur ce qu'elles excluent, mais qui les a paradoxalement crée: des coupes.

Blade Portraits
2012
photographie couleur, contrecollée, encadrée, coupée
65 x 52 centimètres
pièce unique

Chaque œuvre de cette série inédite est le tirage photographique encadré d'une fleur — souvent vue de dos, tendant sa nuque à un châtiment capital— et dont le cadre a été coupé de part en part, laissant tombé dans la partie inférieure, le haut de la photographie, à la manière d'une lame glissant dans la fenêtre d'une guillotine. Chaque "Blade Portrait" est en réalité un "portrait de lames". S'y stratifie une série d'exclusions et de coupures : une fleur est coupée, celle-ci est ensuite recoupée par le cadrage photographique que vient répéter le cadre en bois contenant l'image, l'ensemble (photo et cadre) est coupé une dernière fois à la scie circulaire. "Blade Portraits" est ainsi une tentative de dresser le portrait en creux de toutes les lames ayant contribué à l'œuvre. Derrière la littéralité de ce jeu de coupes mises en abîme, Etienne CHAMBAUD cherche une nouvelle fois à définir de manière rétroversée l'œuvre d'art ou son exposition qu'il considère en tant que cadrages, c'est-à-dire autant comme des procédés d'inclusions que d'exclusions. En titrant cette série "Blade Portraits", l'artiste insiste non pas sur ce que les photographies montrent —une fleur, mais au contraire, sur ce qu'elles excluent, mais qui les a paradoxalement crée: des coupes.

Blade Portraits
2012
photographie couleur, contrecollée, encadrée, coupée
65 x 52 centimètres
pièce unique

Chaque œuvre de cette série inédite est le tirage photographique encadré d'une fleur — souvent vue de dos, tendant sa nuque à un châtiment capital— et dont le cadre a été coupé de part en part, laissant tombé dans la partie inférieure, le haut de la photographie, à la manière d'une lame glissant dans la fenêtre d'une guillotine. Chaque "Blade Portrait" est en réalité un "portrait de lames". S'y stratifie une série d'exclusions et de coupures : une fleur est coupée, celle-ci est ensuite recoupée par le cadrage photographique que vient répéter le cadre en bois contenant l'image, l'ensemble (photo et cadre) est coupé une dernière fois à la scie circulaire. "Blade Portraits" est ainsi une tentative de dresser le portrait en creux de toutes les lames ayant contribué à l'œuvre. Derrière la littéralité de ce jeu de coupes mises en abîme, Etienne CHAMBAUD cherche une nouvelle fois à définir de manière rétroversée l'œuvre d'art ou son exposition qu'il considère en tant que cadrages, c'est-à-dire autant comme des procédés d'inclusions que d'exclusions. En titrant cette série "Blade Portraits", l'artiste insiste non pas sur ce que les photographies montrent —une fleur, mais au contraire, sur ce qu'elles excluent, mais qui les a paradoxalement crée: des coupes.