La danse, n° 1-8
2009
collage
36 x 29 centimètres
pièce unique
"La danse" est une série de collages réalisés par Étienne CHAMBAUD à partir d'une carte postale représentant Irma DUNCAN (1897-1977), fille adoptive de la danseuse Isadora DUNCAN (1877-1927). Irma DUNCAN y est vue effectuant un pas de danse dans un jardin de Grünewald. Photographie d'un mouvement – suite d'immobilités obtenues dès lors qu'on le diffracte –, le document est reproduit et assemblé en autant de configurations qu'il existe de collages. La carte postale se meut et se répète alors non seulement au sein des photomontages mais également au sein de la série qu'ils constituent. Réifié dans un premier temps par la photographie de 1910, le motif de la danseuse s'actualise dans les répétitions que produit l'artiste. "Documents performants" – faisant ce qu'ils montrent, dansant –, ils ne constituent pas pour autant des "documents performatifs" qui réaliseraient la fusion du document photographique et de la performance en un medium nouveau. Au mode de la représentation, oscillant entre métamorphose (métamorphose du réel lorsqu'il est photographié ou peint) et illusion (l'œuvre crée l'illusion de ce qu'elle représente), "La Danse" préfère suivre celui d'une opération : la coupure. Variation autour du concept de Séparation qu'Étienne CHAMBAUD a développé dans son film intitulé "Contre-Histoire de la Séparation" (2010-2011, avec Vincent NORMAND) et dans son "Musée Décapité" (2011), la coupure apparaît en effet dans le corps de la jeune fille à chaque répétition nouvelle du document. Chaque strate est une autre lame. Il s'agit dès lors d'une réflexion sur la technique du collage. La scène champêtre est jouée par une mise en scène mécanique qui, dans le but de recréer le mouvement que la photographie avait arrêté, ne fait en réalité que décomposer un peu plus l'intégrité du corps qu'elle représente. Avant d'être collé, le corps est avant tout coupé.
La danse, n° 3 -1
2009
collage
36 x 29 centimètres
pièce unique
"La danse" est une série de collages réalisés par Étienne CHAMBAUD à partir d'une carte postale représentant Irma DUNCAN (1897-1977), fille adoptive de la danseuse Isadora DUNCAN (1877-1927). Irma DUNCAN y est vue effectuant un pas de danse dans un jardin de Grünewald. Photographie d'un mouvement – suite d'immobilités obtenues dès lors qu'on le diffracte –, le document est reproduit et assemblé en autant de configurations qu'il existe de collages. La carte postale se meut et se répète alors non seulement au sein des photomontages mais également au sein de la série qu'ils constituent. Réifié dans un premier temps par la photographie de 1910, le motif de la danseuse s'actualise dans les répétitions que produit l'artiste. "Documents performants" – faisant ce qu'ils montrent, dansant –, ils ne constituent pas pour autant des "documents performatifs" qui réaliseraient la fusion du document photographique et de la performance en un medium nouveau. Au mode de la représentation, oscillant entre métamorphose (métamorphose du réel lorsqu'il est photographié ou peint) et illusion (l'œuvre crée l'illusion de ce qu'elle représente), "La Danse" préfère suivre celui d'une opération : la coupure. Variation autour du concept de Séparation qu'Étienne CHAMBAUD a développé dans son film intitulé "Contre-Histoire de la Séparation" (2010-2011, avec Vincent NORMAND) et dans son "Musée Décapité" (2011), la coupure apparaît en effet dans le corps de la jeune fille à chaque répétition nouvelle du document. Chaque strate est une autre lame. Il s'agit dès lors d'une réflexion sur la technique du collage. La scène champêtre est jouée par une mise en scène mécanique qui, dans le but de recréer le mouvement que la photographie avait arrêté, ne fait en réalité que décomposer un peu plus l'intégrité du corps qu'elle représente. Avant d'être collé, le corps est avant tout coupé.
La danse, n° II-1
2009
collage
35 x 43 centimètres
pièce unique
"La danse" est une série de collages réalisés par Étienne CHAMBAUD à partir d'une carte postale représentant Irma DUNCAN (1897-1977), fille adoptive de la danseuse Isadora DUNCAN (1877-1927). Irma DUNCAN y est vue effectuant un pas de danse dans un jardin de Grünewald. Photographie d'un mouvement – suite d'immobilités obtenues dès lors qu'on le diffracte –, le document est reproduit et assemblé en autant de configurations qu'il existe de collages. La carte postale se meut et se répète alors non seulement au sein des photomontages mais également au sein de la série qu'ils constituent. Réifié dans un premier temps par la photographie de 1910, le motif de la danseuse s'actualise dans les répétitions que produit l'artiste. "Documents performants" – faisant ce qu'ils montrent, dansant –, ils ne constituent pas pour autant des "documents performatifs" qui réaliseraient la fusion du document photographique et de la performance en un medium nouveau. Au mode de la représentation, oscillant entre métamorphose (métamorphose du réel lorsqu'il est photographié ou peint) et illusion (l'œuvre crée l'illusion de ce qu'elle représente), La Danse préfère suivre celui d'une opération : la coupure. Variation autour du concept de Séparation qu'Étienne CHAMBAUD a développé dans son film intitulé "Contre-Histoire de la Séparation" (2010-2011, avec Vincent NORMAND) et dans son "Musée Décapité" (2011), la coupure apparaît en effet dans le corps de la jeune fille à chaque répétition nouvelle du document. Chaque strate est une autre lame. Il s'agit dès lors d'une réflexion sur la technique du collage. La scène champêtre est jouée par une mise en scène mécanique qui, dans le but de recréer le mouvement que la photographie avait arrêté, ne fait en réalité que décomposer un peu plus l'intégrité du corps qu'elle représente. Avant d'être collé, le corps est avant tout coupé.
La danse, n° III-1
2009
collage
35 x 43 centimètres
pièce unique
"La danse" est une série de collages réalisés par Étienne CHAMBAUD à partir d'une carte postale représentant Irma DUNCAN (1897-1977), fille adoptive de la danseuse Isadora DUNCAN (1877-1927). Irma DUNCAN y est vue effectuant un pas de danse dans un jardin de Grünewald. Photographie d'un mouvement – suite d'immobilités obtenues dès lors qu'on le diffracte –, le document est reproduit et assemblé en autant de configurations qu'il existe de collages. La carte postale se meut et se répète alors non seulement au sein des photomontages mais également au sein de la série qu'ils constituent. Réifié dans un premier temps par la photographie de 1910, le motif de la danseuse s'actualise dans les répétitions que produit l'artiste. "Documents performants" – faisant ce qu'ils montrent, dansant –, ils ne constituent pas pour autant des "documents performatifs" qui réaliseraient la fusion du document photographique et de la performance en un medium nouveau. Au mode de la représentation, oscillant entre métamorphose (métamorphose du réel lorsqu'il est photographié ou peint) et illusion (l'œuvre crée l'illusion de ce qu'elle représente), "La Danse" préfère suivre celui d'une opération : la coupure. Variation autour du concept de Séparation qu'Étienne CHAMBAUD a développé dans son film intitulé "Contre-Histoire de la Séparation" (2010-2011, avec Vincent NORMAND) et dans son "Musée Décapité" (2011), la coupure apparaît en effet dans le corps de la jeune fille à chaque répétition nouvelle du document. Chaque strate est une autre lame. Il s'agit dès lors d'une réflexion sur la technique du collage. La scène champêtre est jouée par une mise en scène mécanique qui, dans le but de recréer le mouvement que la photographie avait arrêté, ne fait en réalité que décomposer un peu plus l'intégrité du corps qu'elle représente. Avant d'être collé, le corps est avant tout coupé.
La danse, n° III-2
2009
collage
35 x 43 centimètres
pièce unique
"La danse" est une série de collages réalisés par Étienne CHAMBAUD à partir d'une carte postale représentant Irma DUNCAN (1897-1977), fille adoptive de la danseuse Isadora DUNCAN (1877-1927). Irma DUNCAN y est vue effectuant un pas de danse dans un jardin de Grünewald. Photographie d'un mouvement – suite d'immobilités obtenues dès lors qu'on le diffracte –, le document est reproduit et assemblé en autant de configurations qu'il existe de collages. La carte postale se meut et se répète alors non seulement au sein des photomontages mais également au sein de la série qu'ils constituent. Réifié dans un premier temps par la photographie de 1910, le motif de la danseuse s'actualise dans les répétitions que produit l'artiste. "Documents performants" – faisant ce qu'ils montrent, dansant –, ils ne constituent pas pour autant des "documents performatifs" qui réaliseraient la fusion du document photographique et de la performance en un medium nouveau. Au mode de la représentation, oscillant entre métamorphose (métamorphose du réel lorsqu'il est photographié ou peint) et illusion (l'œuvre crée l'illusion de ce qu'elle représente), "La Danse" préfère suivre celui d'une opération : la coupure. Variation autour du concept de Séparation qu'Étienne CHAMBAUD a développé dans son film intitulé "Contre-Histoire de la Séparation" (2010-2011, avec Vincent NORMAND) et dans son "Musée Décapité" (2011), la coupure apparaît en effet dans le corps de la jeune fille à chaque répétition nouvelle du document. Chaque strate est une autre lame. Il s'agit dès lors d'une réflexion sur la technique du collage. La scène champêtre est jouée par une mise en scène mécanique qui, dans le but de recréer le mouvement que la photographie avait arrêté, ne fait en réalité que décomposer un peu plus l'intégrité du corps qu'elle représente. Avant d'être collé, le corps est avant tout coupé.
La danse, n°I-1
2009
collage
35 x 43 centimètres
pièce unique
"La danse" est une série de collages réalisés par Étienne CHAMBAUD à partir d'une carte postale représentant Irma DUNCAN (1897-1977), fille adoptive de la danseuse Isadora DUNCAN (1877-1927). Irma DUNCAN y est vue effectuant un pas de danse dans un jardin de Grünewald. Photographie d'un mouvement – suite d'immobilités obtenues dès lors qu'on le diffracte –, le document est reproduit et assemblé en autant de configurations qu'il existe de collages. La carte postale se meut et se répète alors non seulement au sein des photomontages mais également au sein de la série qu'ils constituent. Réifié dans un premier temps par la photographie de 1910, le motif de la danseuse s'actualise dans les répétitions que produit l'artiste. "Documents performants" – faisant ce qu'ils montrent, dansant –, ils ne constituent pas pour autant des "documents performatifs" qui réaliseraient la fusion du document photographique et de la performance en un medium nouveau. Au mode de la représentation, oscillant entre métamorphose (métamorphose du réel lorsqu'il est photographié ou peint) et illusion (l'œuvre crée l'illusion de ce qu'elle représente), "La Danse" préfère suivre celui d'une opération : la coupure. Variation autour du concept de Séparation qu'Étienne CHAMBAUD a développé dans son film intitulé "Contre-Histoire de la Séparation" (2010-2011, avec Vincent NORMAND) et dans son "Musée Décapité" (2011), la coupure apparaît en effet dans le corps de la jeune fille à chaque répétition nouvelle du document. Chaque strate est une autre lame. Il s'agit dès lors d'une réflexion sur la technique du collage. La scène champêtre est jouée par une mise en scène mécanique qui, dans le but de recréer le mouvement que la photographie avait arrêté, ne fait en réalité que décomposer un peu plus l'intégrité du corps qu'elle représente. Avant d'être collé, le corps est avant tout coupé.