Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille

Contre-Dépouille
2012
peau de python de seba, corde, poteaux acier
90 x 458 centimètres
pièce unique

Contre-Dépouille
2012
peau de zèbre des plaines, tendue sur châssis
115 x 100 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Contre-Dépouille
2012
peau de zèbre des plaines, tendue sur châssis
120 x 105 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
68.5 x 42 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
61.4 x 40.4 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
57 x 41 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Contre-Dépouille
2012
peau de grand koudou tendue sur châssis
109 x 93 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Contre-Dépouille
2012
peau d'antilope, tendue sur châssis
83 x 55 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Contre-Dépouille
2012
peau d'antilope, tendue sur châssis
83 x 55 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.