Chefs d'oeuvre de l'art I
Chefs d'oeuvre de l'art II
Chefs d'oeuvre de l'art IV
Chefs d'oeuvre de l'art VI
Chefs d'oeuvre de l'art VII
Chefs d'oeuvres de l'art III
Chefs d'oeuvres de l'art V
Chefs d’œuvre de l’art VII

Chefs d'oeuvre de l'art I
2016
dyptique, photos encadrées
203 x 113 centimètres
pièce unique

Sept diptyques photographiques et une photographie
de la série Chefs-d’oeuvre de l’art assemblent chacun, à la manière de collages, des objets iconiques, vestiges de civilisations disparues. Le titre de cette série d’oeuvres fait directement référence aux couvertures d’une revue éditée par Hachette dans les années 1960 et dont l’ambition était de répertorier et de vulgariser 40’000 ans de production humaine. Les plus grands “chefs-d’oeuvre” sélectionnés par l’éditeur figuraient au fil des couvertures sur des fonds colorés rouges, verts, jaunes ou bleus, dans des compositions presque pop. L’aspiration au récolement scientifique laissait place à des images graphiquement séduisantes, transformant ces artefacts de civilisations anciennes ou disparues en véritables icônes de presse, « comme une oeuvre de Pop Art avec une Vénus callipyge au lieu d’une Jackie Kennedy », ainsi que le suggère Théo Mercier. En reprenant ce principe et en réactivant le même regard esthétisant porté sur des civilisations lointaines ou disparues, il met en scène la construction et la déconstruction du Temps passé au gré des aléas de l’Histoire et aux sélections opérées par les civilisations qui se succèdent. Sculptures, masques et artefacts, pour la plupart anthropomorphes, alternent sur les murs de l’exposition, évoquant « une grande galerie des ancêtres qui met l’Homme face à l’autre Homme dans sa mortelle humanité », selon l’artiste. Alors que les scuptures au centre de l’exposition sont prêtes à sombrer dans les tréfonds de l’Histoire, les fantômes des diptyques photographiques apparaissent comme les témoins de leur propre disparition.

Tel des petits cailloux sur un chemin permettant de rallier certaines de ces civilisations, des prises d’escalades – imitations de la nature pour parois artificielles – incitent de façon métaphorique le visiteur à tenter une ascension périlleuse.

Avec Panorama Zéro, Théo Mercier renoue d’une certaine manière avec la fonction oraculaire de l’artiste et du poète en cartographiant, sans pour autant les nommer, les édifications et les ruines de civilisations passées, en cours et à venir, suggérant par là même qu’elles sont le propre de l’humanité.

Chefs d'oeuvre de l'art II
2016
dyptique, photos encadrées
203 x 113 centimètres
pièce unique

Sept diptyques photographiques et une photographie
de la série Chefs-d’oeuvre de l’art assemblent chacun, à la manière de collages, des objets iconiques, vestiges de civilisations disparues. Le titre de cette série d’oeuvres fait directement référence aux couvertures d’une revue éditée par Hachette dans les années 1960 et dont l’ambition était de répertorier et de vulgariser 40’000 ans de production humaine. Les plus grands “chefs-d’oeuvre” sélectionnés par l’éditeur figuraient au fil des couvertures sur des fonds colorés rouges, verts, jaunes ou bleus, dans des compositions presque pop. L’aspiration au récolement scientifique laissait place à des images graphiquement séduisantes, transformant ces artefacts de civilisations anciennes ou disparues en véritables icônes de presse, « comme une oeuvre de Pop Art avec une Vénus callipyge au lieu d’une Jackie Kennedy », ainsi que le suggère Théo Mercier. En reprenant ce principe et en réactivant le même regard esthétisant porté sur des civilisations lointaines ou disparues, il met en scène la construction et la déconstruction du Temps passé au gré des aléas de l’Histoire et aux sélections opérées par les civilisations qui se succèdent. Sculptures, masques et artefacts, pour la plupart anthropomorphes, alternent sur les murs de l’exposition, évoquant « une grande galerie des ancêtres qui met l’Homme face à l’autre Homme dans sa mortelle humanité », selon l’artiste. Alors que les scuptures au centre de l’exposition sont prêtes à sombrer dans les tréfonds de l’Histoire, les fantômes des diptyques photographiques apparaissent comme les témoins de leur propre disparition.

Tel des petits cailloux sur un chemin permettant de rallier certaines de ces civilisations, des prises d’escalades – imitations de la nature pour parois artificielles – incitent de façon métaphorique le visiteur à tenter une ascension périlleuse.

Avec Panorama Zéro, Théo Mercier renoue d’une certaine manière avec la fonction oraculaire de l’artiste et du poète en cartographiant, sans pour autant les nommer, les édifications et les ruines de civilisations passées, en cours et à venir, suggérant par là même qu’elles sont le propre de l’humanité.

Chefs d'oeuvre de l'art IV
2016
dyptique, photos encadrées
203 x 113 centimètres
pièce unique

Sept diptyques photographiques et une photographie
de la série Chefs-d’oeuvre de l’art assemblent chacun, à la manière de collages, des objets iconiques, vestiges de civilisations disparues. Le titre de cette série d’oeuvres fait directement référence aux couvertures d’une revue éditée par Hachette dans les années 1960 et dont l’ambition était de répertorier et de vulgariser 40’000 ans de production humaine. Les plus grands “chefs-d’oeuvre” sélectionnés par l’éditeur figuraient au fil des couvertures sur des fonds colorés rouges, verts, jaunes ou bleus, dans des compositions presque pop. L’aspiration au récolement scientifique laissait place à des images graphiquement séduisantes, transformant ces artefacts de civilisations anciennes ou disparues en véritables icônes de presse, « comme une oeuvre de Pop Art avec une Vénus callipyge au lieu d’une Jackie Kennedy », ainsi que le suggère Théo Mercier. En reprenant ce principe et en réactivant le même regard esthétisant porté sur des civilisations lointaines ou disparues, il met en scène la construction et la déconstruction du Temps passé au gré des aléas de l’Histoire et aux sélections opérées par les civilisations qui se succèdent. Sculptures, masques et artefacts, pour la plupart anthropomorphes, alternent sur les murs de l’exposition, évoquant « une grande galerie des ancêtres qui met l’Homme face à l’autre Homme dans sa mortelle humanité », selon l’artiste. Alors que les scuptures au centre de l’exposition sont prêtes à sombrer dans les tréfonds de l’Histoire, les fantômes des diptyques photographiques apparaissent comme les témoins de leur propre disparition.

Tel des petits cailloux sur un chemin permettant de rallier certaines de ces civilisations, des prises d’escalades – imitations de la nature pour parois artificielles – incitent de façon métaphorique le visiteur à tenter une ascension périlleuse.

Avec Panorama Zéro, Théo Mercier renoue d’une certaine manière avec la fonction oraculaire de l’artiste et du poète en cartographiant, sans pour autant les nommer, les édifications et les ruines de civilisations passées, en cours et à venir, suggérant par là même qu’elles sont le propre de l’humanité.

Chefs d'oeuvre de l'art VI
2016
dyptique, photos encadrées
153 x 98 centimètres
pièce unique

Sept diptyques photographiques et une photographie
de la série Chefs-d’oeuvre de l’art assemblent chacun, à la manière de collages, des objets iconiques, vestiges de civilisations disparues. Le titre de cette série d’oeuvres fait directement référence aux couvertures d’une revue éditée par Hachette dans les années 1960 et dont l’ambition était de répertorier et de vulgariser 40’000 ans de production humaine. Les plus grands “chefs-d’oeuvre” sélectionnés par l’éditeur figuraient au fil des couvertures sur des fonds colorés rouges, verts, jaunes ou bleus, dans des compositions presque pop. L’aspiration au récolement scientifique laissait place à des images graphiquement séduisantes, transformant ces artefacts de civilisations anciennes ou disparues en véritables icônes de presse, « comme une oeuvre de Pop Art avec une Vénus callipyge au lieu d’une Jackie Kennedy », ainsi que le suggère Théo Mercier. En reprenant ce principe et en réactivant le même regard esthétisant porté sur des civilisations lointaines ou disparues, il met en scène la construction et la déconstruction du Temps passé au gré des aléas de l’Histoire et aux sélections opérées par les civilisations qui se succèdent. Sculptures, masques et artefacts, pour la plupart anthropomorphes, alternent sur les murs de l’exposition, évoquant « une grande galerie des ancêtres qui met l’Homme face à l’autre Homme dans sa mortelle humanité », selon l’artiste. Alors que les scuptures au centre de l’exposition sont prêtes à sombrer dans les tréfonds de l’Histoire, les fantômes des diptyques photographiques apparaissent comme les témoins de leur propre disparition.

Tel des petits cailloux sur un chemin permettant de rallier certaines de ces civilisations, des prises d’escalades – imitations de la nature pour parois artificielles – incitent de façon métaphorique le visiteur à tenter une ascension périlleuse.

Avec Panorama Zéro, Théo Mercier renoue d’une certaine manière avec la fonction oraculaire de l’artiste et du poète en cartographiant, sans pour autant les nommer, les édifications et les ruines de civilisations passées, en cours et à venir, suggérant par là même qu’elles sont le propre de l’humanité.

Chefs d'oeuvre de l'art VII
2016
dyptique, photos encadrées
203 x 113 centimètres
pièce unique

Sept diptyques photographiques et une photographie
de la série Chefs-d’oeuvre de l’art assemblent chacun, à la manière de collages, des objets iconiques, vestiges de civilisations disparues. Le titre de cette série d’oeuvres fait directement référence aux couvertures d’une revue éditée par Hachette dans les années 1960 et dont l’ambition était de répertorier et de vulgariser 40’000 ans de production humaine. Les plus grands “chefs-d’oeuvre” sélectionnés par l’éditeur figuraient au fil des couvertures sur des fonds colorés rouges, verts, jaunes ou bleus, dans des compositions presque pop. L’aspiration au récolement scientifique laissait place à des images graphiquement séduisantes, transformant ces artefacts de civilisations anciennes ou disparues en véritables icônes de presse, « comme une oeuvre de Pop Art avec une Vénus callipyge au lieu d’une Jackie Kennedy », ainsi que le suggère Théo Mercier. En reprenant ce principe et en réactivant le même regard esthétisant porté sur des civilisations lointaines ou disparues, il met en scène la construction et la déconstruction du Temps passé au gré des aléas de l’Histoire et aux sélections opérées par les civilisations qui se succèdent. Sculptures, masques et artefacts, pour la plupart anthropomorphes, alternent sur les murs de l’exposition, évoquant « une grande galerie des ancêtres qui met l’Homme face à l’autre Homme dans sa mortelle humanité », selon l’artiste. Alors que les scuptures au centre de l’exposition sont prêtes à sombrer dans les tréfonds de l’Histoire, les fantômes des diptyques photographiques apparaissent comme les témoins de leur propre disparition.

Tel des petits cailloux sur un chemin permettant de rallier certaines de ces civilisations, des prises d’escalades – imitations de la nature pour parois artificielles – incitent de façon métaphorique le visiteur à tenter une ascension périlleuse.

Avec Panorama Zéro, Théo Mercier renoue d’une certaine manière avec la fonction oraculaire de l’artiste et du poète en cartographiant, sans pour autant les nommer, les édifications et les ruines de civilisations passées, en cours et à venir, suggérant par là même qu’elles sont le propre de l’humanité.

Chefs d'oeuvres de l'art III
2016
dyptique, photos encadrées
203 x 113 centimètres
pièce unique

Sept diptyques photographiques et une photographie
de la série Chefs-d’oeuvre de l’art assemblent chacun, à la manière de collages, des objets iconiques, vestiges de civilisations disparues. Le titre de cette série d’oeuvres fait directement référence aux couvertures d’une revue éditée par Hachette dans les années 1960 et dont l’ambition était de répertorier et de vulgariser 40’000 ans de production humaine. Les plus grands “chefs-d’oeuvre” sélectionnés par l’éditeur figuraient au fil des couvertures sur des fonds colorés rouges, verts, jaunes ou bleus, dans des compositions presque pop. L’aspiration au récolement scientifique laissait place à des images graphiquement séduisantes, transformant ces artefacts de civilisations anciennes ou disparues en véritables icônes de presse, « comme une oeuvre de Pop Art avec une Vénus callipyge au lieu d’une Jackie Kennedy », ainsi que le suggère Théo Mercier. En reprenant ce principe et en réactivant le même regard esthétisant porté sur des civilisations lointaines ou disparues, il met en scène la construction et la déconstruction du Temps passé au gré des aléas de l’Histoire et aux sélections opérées par les civilisations qui se succèdent. Sculptures, masques et artefacts, pour la plupart anthropomorphes, alternent sur les murs de l’exposition, évoquant « une grande galerie des ancêtres qui met l’Homme face à l’autre Homme dans sa mortelle humanité », selon l’artiste. Alors que les scuptures au centre de l’exposition sont prêtes à sombrer dans les tréfonds de l’Histoire, les fantômes des diptyques photographiques apparaissent comme les témoins de leur propre disparition.

Tel des petits cailloux sur un chemin permettant de rallier certaines de ces civilisations, des prises d’escalades – imitations de la nature pour parois artificielles – incitent de façon métaphorique le visiteur à tenter une ascension périlleuse.

Avec Panorama Zéro, Théo Mercier renoue d’une certaine manière avec la fonction oraculaire de l’artiste et du poète en cartographiant, sans pour autant les nommer, les édifications et les ruines de civilisations passées, en cours et à venir, suggérant par là même qu’elles sont le propre de l’humanité.

Chefs d'oeuvres de l'art V
2016
dyptique, photos encadrées
203 x 113 centimètres
pièce unique

Sept diptyques photographiques et une photographie
de la série Chefs-d’oeuvre de l’art assemblent chacun, à la manière de collages, des objets iconiques, vestiges de civilisations disparues. Le titre de cette série d’oeuvres fait directement référence aux couvertures d’une revue éditée par Hachette dans les années 1960 et dont l’ambition était de répertorier et de vulgariser 40’000 ans de production humaine. Les plus grands “chefs-d’oeuvre” sélectionnés par l’éditeur figuraient au fil des couvertures sur des fonds colorés rouges, verts, jaunes ou bleus, dans des compositions presque pop. L’aspiration au récolement scientifique laissait place à des images graphiquement séduisantes, transformant ces artefacts de civilisations anciennes ou disparues en véritables icônes de presse, « comme une oeuvre de Pop Art avec une Vénus callipyge au lieu d’une Jackie Kennedy », ainsi que le suggère Théo Mercier. En reprenant ce principe et en réactivant le même regard esthétisant porté sur des civilisations lointaines ou disparues, il met en scène la construction et la déconstruction du Temps passé au gré des aléas de l’Histoire et aux sélections opérées par les civilisations qui se succèdent. Sculptures, masques et artefacts, pour la plupart anthropomorphes, alternent sur les murs de l’exposition, évoquant « une grande galerie des ancêtres qui met l’Homme face à l’autre Homme dans sa mortelle humanité », selon l’artiste. Alors que les scuptures au centre de l’exposition sont prêtes à sombrer dans les tréfonds de l’Histoire, les fantômes des diptyques photographiques apparaissent comme les témoins de leur propre disparition.

Tel des petits cailloux sur un chemin permettant de rallier certaines de ces civilisations, des prises d’escalades – imitations de la nature pour parois artificielles – incitent de façon métaphorique le visiteur à tenter une ascension périlleuse.

Avec Panorama Zéro, Théo Mercier renoue d’une certaine manière avec la fonction oraculaire de l’artiste et du poète en cartographiant, sans pour autant les nommer, les édifications et les ruines de civilisations passées, en cours et à venir, suggérant par là même qu’elles sont le propre de l’humanité.

Chefs d’œuvre de l’art VII

dyptique, photos encadrées
203 x 113 centimètres
pièce unique

Sept diptyques photographiques et une photographie
de la série Chefs-d’oeuvre de l’art assemblent chacun, à la manière de collages, des objets iconiques, vestiges de civilisations disparues. Le titre de cette série d’oeuvres fait directement référence aux couvertures d’une revue éditée par Hachette dans les années 1960 et dont l’ambition était de répertorier et de vulgariser 40’000 ans de production humaine. Les plus grands “chefs-d’oeuvre” sélectionnés par l’éditeur figuraient au fil des couvertures sur des fonds colorés rouges, verts, jaunes ou bleus, dans des compositions presque pop. L’aspiration au récolement scientifique laissait place à des images graphiquement séduisantes, transformant ces artefacts de civilisations anciennes ou disparues en véritables icônes de presse, « comme une oeuvre de Pop Art avec une Vénus callipyge au lieu d’une Jackie Kennedy », ainsi que le suggère Théo Mercier. En reprenant ce principe et en réactivant le même regard esthétisant porté sur des civilisations lointaines ou disparues, il met en scène la construction et la déconstruction du Temps passé au gré des aléas de l’Histoire et aux sélections opérées par les civilisations qui se succèdent. Sculptures, masques et artefacts, pour la plupart anthropomorphes, alternent sur les murs de l’exposition, évoquant « une grande galerie des ancêtres qui met l’Homme face à l’autre Homme dans sa mortelle humanité », selon l’artiste. Alors que les scuptures au centre de l’exposition sont prêtes à sombrer dans les tréfonds de l’Histoire, les fantômes des diptyques photographiques apparaissent comme les témoins de leur propre disparition.

Tel des petits cailloux sur un chemin permettant de rallier certaines de ces civilisations, des prises d’escalades – imitations de la nature pour parois artificielles – incitent de façon métaphorique le visiteur à tenter une ascension périlleuse.

Avec Panorama Zéro, Théo Mercier renoue d’une certaine manière avec la fonction oraculaire de l’artiste et du poète en cartographiant, sans pour autant les nommer, les édifications et les ruines de civilisations passées, en cours et à venir, suggérant par là même qu’elles sont le propre de l’humanité.