Hybrid (5.13.A)
Hybrid (5.13.C)
Hybrid (5.13.D)
Hybrid (5.13.E)
Hybrid (5.13.F)
Ivo
Ivo II
Mansion I
Tajen
Tajen (pm) I
Tajen (pm) II
Tajen (pm) III
Tajen (pm) IV
Untitled (Bragolin I)
Untitled (Bragolin II)
Untitled (Bragolin III)
Untitled (Bragolin IV)
Untitled (Bragolin V)
Untitled (Jour de France 12 - 19.05.1955)
Untitled (Paris Match 12-05-1962)
Untitled (Paris Match 16- 23.10.1954)
Untitled (Paris Match 18 - 25.04.1953)
Untitled (Paris Match 18-05-1963)
Untitled (Paris-Match 13 December 1952)
Untitled (Paris-Match 25 June 1952)
Untitled (Paris-Match 3 July 1954)
Untitled (Paris-Match 4 July 1953)
Untitled (Point de Vue January 1961)
Version (P.B.1983)
Version (Raoul Walsh 1914)

Hybrid (5.13.A)
2013
huile sur impression digitale
54 x 45.3 centimètres
pièce unique

Hybrid (5.13.C)
2013
huile sur impression digitale
54 x 46.3 centimètres
pièce unique

Hybrid (5.13.D)
2013
huile sur impression digitale
55.5 x 106 centimètres
pièce unique

Hybrid (5.13.E)
2013
huile sur impression digitale
55 x 72 centimètres
pièce unique

Hybrid (5.13.F)
2013
huile sur impression digitale
54 x 54 centimètres
pièce unique

Ivo
2011
huile sur toile
170 x 170 centimètres
pièce unique

"Ivo", est une reconstruction en peinture du "Conical Intersect" de Gordon MATTA CLARK, œuvre aussi fameuse qu'éphémère réalisée en 1975 à proximité du Centre Pompidou alors en construction, à partir d'assemblages des clichés d'époque à travers lesquels l'œuvre survit désormais. Ces photomontages, un pour l'intérieur et un pour l'extérieur, sont composés de nombreuses photos collées les unes aux autres pour créer un espace que l'œil de la caméra ne peut pas capturer ; une sculpture a ensuite été tirée de ces photomontages pour traduire ces distorsions en trois dimensions, évoquant un dôme baroque, qui ont ensuite été transcrites en peinture

Ivo II

huile sur toile
180 x 180 centimètres
pièce unique

"Ivo", est une reconstruction en peinture du "Conical Intersect" de Gordon MATTA CLARK, œuvre aussi fameuse qu'éphémère réalisée en 1975 à proximité du Centre Pompidou alors en construction, à partir d'assemblages des clichés d'époque à travers lesquels l'œuvre survit désormais. Ces photomontages, un pour l'intérieur et un pour l'extérieur, sont composés de nombreuses photos collées les unes aux autres pour créer un espace que l'œil de la caméra ne peut pas capturer ; une sculpture a ensuite été tirée de ces photomontages pour traduire ces distorsions en trois dimensions, évoquant un dôme baroque, qui ont ensuite été transcrites en peinture

Mansion I
2011
huile sur toile
114 x 146 centimètres
pièce unique

"Mansion I" est une reconstruction en peinture du célèbre Office Baroque de Gordon MATTA CLARK (Anvers 1977), à partir des photomontages de ce dernier, composés par la juxtaposition syncopée de plusieurs points de vue du bâtiment “ éventré ”, qui déploient, comme dans les trouées réelles, une véritable stratégie de découpe spatiale et temporelle. Procédant à partir de bandes de négatifs, l'artiste bascule, superpose, confronte plusieurs images afin de traduire au mieux l'expérience nécessairement active d'un espace. A partir de ces photomontages un espace que l'œil de la caméra ne peut pas capturer, qui créent Nick Devereux construit une sculpture pour traduire ces distorsions en trois dimensions avant de le transcrire en peinture.

Tajen
2012
pastel sur impression pigmentaire
150 x 100 centimètres
pièce unique

Tajen (pm) I
2012
pastel sur impression pigmentaire
82 x 60 centimètres
pièce unique

Tajen (pm) II
2012
pastel sur impression pigmentaire
82 x 60 centimètres
pièce unique

Tajen (pm) III
2012
fusain sur impression jet d'encre pigmentaire
82 x 60 centimètres
pièce unique

Tajen (pm) IV
2012
fusain sur impression jet d'encre pigmentaire
82 x 60 centimètres
pièce unique

Untitled (Bragolin I)
2011
pastel sur impression pigmentaire
80 x 65 centimètres
pièce unique

Pour la série "Untitled (Bragolins)", Nick DEVEREUX a travaillé sur des reproductions d'une série de portraits à l'huile représentant des enfants, garçons et filles, à l'air mélancolique et les larmes aux yeux ("Crying Boys" en anglais), peints par Bruno AMADIO, plus connu sous le nom de BRAGOLIN, dans la Venise d'après-guerre, et qui, reproduits en masse, ont connu un immense succès populaire. Au milieu des années 1980, une légende urbaine tenace, lancée par The Sun et reprise par tous les autres tabloïds britanniques, qui cite des pompiers de tout le pays selon lesquels ces reproductions sont fréquemment retrouvées, intactes, dans des logements ravagés par les flammes, prétend que ces peintures sont maudites ; la croyance en une malédiction est suffisamment répandue pour que The Sun organise des autodafés au cours desquels les possesseurs de ces toiles viennent les jeter dans les flammes. On découvrira plus tard que ces reproductions sont recouvertes d'un vernis ignifuge, et que, la ficelle qui les tient au mur brûlant en premier, ils tombent face contre terre et sont ainsi protégés du feu. Entre-temps, ces images se sont retrouvées investies d'un poids que la reproduction en masse leur ôte habituellement. Après avoir effacé au papier de verre les têtes des personnages, Nick DEVEREUX les a remplacées par des dessins de sculptures réalisées en papier, brouillant le sujet original des images en même temps qu'il en accentuait l'identité esthétique.

Untitled (Bragolin II)
2011
pastel sur impression pigmentaire
84 x 65 centimètres
pièce unique

Pour la série "Untitled (Bragolins)", Nick DEVEREUX a travaillé sur des reproductions d'une série de portraits à l'huile représentant des enfants, garçons et filles, à l'air mélancolique et les larmes aux yeux ("Crying Boys" en anglais), peints par Bruno AMADIO, plus connu sous le nom de BRAGOLIN, dans la Venise d'après-guerre, et qui, reproduits en masse, ont connu un immense succès populaire. Au milieu des années 1980, une légende urbaine tenace, lancée par "The Sun" et reprise par tous les autres tabloïds britanniques, qui cite des pompiers de tout le pays selon lesquels ces reproductions sont fréquemment retrouvées, intactes, dans des logements ravagés par les flammes, prétend que ces peintures sont maudites ; la croyance en une malédiction est suffisamment répandue pour que "The Sun" organise des autodafés au cours desquels les possesseurs de ces toiles viennent les jeter dans les flammes. On découvrira plus tard que ces reproductions sont recouvertes d'un vernis ignifuge, et que, la ficelle qui les tient au mur brûlant en premier, ils tombent face contre terre et sont ainsi protégés du feu. Entre-temps, ces images se sont retrouvées investies d'un poids que la reproduction en masse leur ôte habituellement. Après avoir effacé au papier de verre les têtes des personnages, Nick DEVEREUX les a remplacées par des dessins de sculptures réalisées en papier, brouillant le sujet original des images en même temps qu'il en accentuait l'identité esthétique.

Untitled (Bragolin III)
2011
pastel sur impression pigmentaire
83 x 65 centimètres
pièce unique

Pour la série "Untitled (Bragolins)", Nick DEVEREUX a travaillé sur des reproductions d'une série de portraits à l'huile représentant des enfants, garçons et filles, à l'air mélancolique et les larmes aux yeux ("Crying Boys" en anglais), peints par Bruno AMADIO, plus connu sous le nom de BRAGOLIN, dans la Venise d'après-guerre, et qui, reproduits en masse, ont connu un immense succès populaire. Au milieu des années 1980, une légende urbaine tenace, lancée par "The Sun" et reprise par tous les autres tabloïds britanniques, qui cite des pompiers de tout le pays selon lesquels ces reproductions sont fréquemment retrouvées, intactes, dans des logements ravagés par les flammes, prétend que ces peintures sont maudites ; la croyance en une malédiction est suffisamment répandue pour que "The Sun" organise des autodafés au cours desquels les possesseurs de ces toiles viennent les jeter dans les flammes. On découvrira plus tard que ces reproductions sont recouvertes d'un vernis ignifuge, et que, la ficelle qui les tient au mur brûlant en premier, ils tombent face contre terre et sont ainsi protégés du feu. Entre-temps, ces images se sont retrouvées investies d'un poids que la reproduction en masse leur ôte habituellement. Après avoir effacé au papier de verre les têtes des personnages, Nick DEVEREUX les a remplacées par des dessins de sculptures réalisées en papier, brouillant le sujet original des images en même temps qu'il en accentuait l'identité esthétique.

Untitled (Bragolin IV)
2011
pastel sur impression pigmentaire
80 x 65.5 centimètres
pièce unique

Pour la série "Untitled (Bragolins)", Nick DEVEREUX a travaillé sur des reproductions d'une série de portraits à l'huile représentant des enfants, garçons et filles, à l'air mélancolique et les larmes aux yeux ("Crying Boys" en anglais), peints par Bruno AMADIO, plus connu sous le nom de BRAGOLIN, dans la Venise d'après-guerre, et qui, reproduits en masse, ont connu un immense succès populaire. Au milieu des années 1980, une légende urbaine tenace, lancée par "The Sun" et reprise par tous les autres tabloïds britanniques, qui cite des pompiers de tout le pays selon lesquels ces reproductions sont fréquemment retrouvées, intactes, dans des logements ravagés par les flammes, prétend que ces peintures sont maudites ; la croyance en une malédiction est suffisamment répandue pour que "The Sun" organise des autodafés au cours desquels les possesseurs de ces toiles viennent les jeter dans les flammes. On découvrira plus tard que ces reproductions sont recouvertes d'un vernis ignifuge, et que, la ficelle qui les tient au mur brûlant en premier, ils tombent face contre terre et sont ainsi protégés du feu. Entre-temps, ces images se sont retrouvées investies d'un poids que la reproduction en masse leur ôte habituellement. Après avoir effacé au papier de verre les têtes des personnages, Nick DEVEREUX les a remplacées par des dessins de sculptures réalisées en papier, brouillant le sujet original des images en même temps qu'il en accentuait l'identité esthétique.

Untitled (Bragolin V)
2011
pastel sur impression pigmentaire
79 x 65.5 centimètres
pièce unique

Pour la série "Untitled (Bragolins)", Nick DEVEREUX a travaillé sur des reproductions d'une série de portraits à l'huile représentant des enfants, garçons et filles, à l'air mélancolique et les larmes aux yeux ("Crying Boys" en anglais), peints par Bruno AMADIO, plus connu sous le nom de BRAGOLIN, dans la Venise d'après-guerre, et qui, reproduits en masse, ont connu un immense succès populaire. Au milieu des années 1980, une légende urbaine tenace, lancée par "The Sun" et reprise par tous les autres tabloïds britanniques, qui cite des pompiers de tout le pays selon lesquels ces reproductions sont fréquemment retrouvées, intactes, dans des logements ravagés par les flammes, prétend que ces peintures sont maudites ; la croyance en une malédiction est suffisamment répandue pour que The Sun organise des autodafés au cours desquels les possesseurs de ces toiles viennent les jeter dans les flammes. On découvrira plus tard que ces reproductions sont recouvertes d'un vernis ignifuge, et que, la ficelle qui les tient au mur brûlant en premier, ils tombent face contre terre et sont ainsi protégés du feu. Entre-temps, ces images se sont retrouvées investies d'un poids que la reproduction en masse leur ôte habituellement. Après avoir effacé au papier de verre les têtes des personnages, Nick DEVEREUX les a remplacées par des dessins de sculptures réalisées en papier, brouillant le sujet original des images en même temps qu'il en accentuait l'identité esthétique.

Untitled (Jour de France 12 - 19.05.1955)
2010
pastel sur page de magazine
52.5 x 44 centimètres
pièce unique

Dans la série "Untitled (Paris Match)", Nick DEVEREUX remplace le visage sur une photographie parue dans la presse populaire par un dessin réalisé à partir d'une de ses chimères sculpturales, rapprochant les questions de la représentation et de l'identité.

Untitled (Paris Match 12-05-1962)
2010
pastel sur page de magazine
52.5 x 44 centimètres
pièce unique

Dans la série "Untitled (Paris Match)", Nick DEVEREUX remplace le visage sur une photographie parue dans la presse populaire par un dessin réalisé à partir d'une de ses chimères sculpturales, rapprochant les questions de la représentation et de l'identité.

Untitled (Paris Match 16- 23.10.1954)
2010
pastel sur page de magazine
52.5 x 44 centimètres
pièce unique

Dans la série "Untitled (Paris Match)", Nick DEVEREUX remplace le visage sur une photographie parue dans la presse populaire par un dessin réalisé à partir d'une de ses chimères sculpturales, rapprochant les questions de la représentation et de l'identité.

Untitled (Paris Match 18 - 25.04.1953)
2010
pastel sur page de magazine
52.5 x 44 centimètres
pièce unique

Dans la série "Untitled (Paris Match)", Nick DEVEREUX remplace le visage sur une photographie parue dans la presse populaire par un dessin réalisé à partir d'une de ses chimères sculpturales, rapprochant les questions de la représentation et de l'identité.

Untitled (Paris Match 18-05-1963)
2010
pastel sur page de magazine
52.5 x 44 centimètres
pièce unique

Dans la série "Untitled (Paris Match)", Nick DEVEREUX remplace le visage sur une photographie parue dans la presse populaire par un dessin réalisé à partir d'une de ses chimères sculpturales, rapprochant les questions de la représentation et de l'identité.

Untitled (Paris-Match 13 December 1952)
2012
pastel sur page de magazine
50 x 42.3 centimètres
pièce unique

Dans la série "Untitled (Paris Match)", Nick DEVEREUX remplace le visage sur une photographie parue dans la presse populaire par un dessin réalisé à partir d'une de ses chimères sculpturales, rapprochant les questions de la représentation et de l'identité.

Untitled (Paris-Match 25 June 1952)
2012
pastel
50.4 x 42.4 centimètres
pièce unique

Dans la série "Untitled (Paris Match)", Nick DEVEREUX remplace le visage sur une photographie parue dans la presse populaire par un dessin réalisé à partir d'une de ses chimères sculpturales, rapprochant les questions de la représentation et de l'identité.

Untitled (Paris-Match 3 July 1954)
2012
pastel
50.4 x 42.4 centimètres
pièce unique

Dans la série "Untitled (Paris Match)", Nick DEVEREUX remplace le visage sur une photographie parue dans la presse populaire par un dessin réalisé à partir d'une de ses chimères sculpturales, rapprochant les questions de la représentation et de l'identité.

Untitled (Paris-Match 4 July 1953)
2012
pastel sur page de magazine
50 x 42.3 centimètres
pièce unique

Dans la série "Untitled (Paris Match)", Nick DEVEREUX remplace le visage sur une photographie parue dans la presse populaire par un dessin réalisé à partir d'une de ses chimères sculpturales, rapprochant les questions de la représentation et de l'identité.

Untitled (Point de Vue January 1961)
2012
pastel
50.4 x 42.4 centimètres
pièce unique

Dans la série "Untitled (Paris Match)", Nick DEVEREUX remplace le visage sur une photographie parue dans la presse populaire par un dessin réalisé à partir d'une de ses chimères sculpturales, rapprochant les questions de la représentation et de l'identité.

Version (P.B.1983)
2011
pastel sur impression pigmentaire
150 x 100 centimètres
pièce unique

Version (Raoul Walsh 1914)
2011
pastel sur impression pigmentaire
144.5 x 110 centimètres
pièce unique

Le diptyque "Version (Raoul Walsh 1914)" utilise deux reproductions d'images prises sur le tournage d'une scène de "The Life of General Villa", à la fois documentaire sur la révolution mexicaine en cours et film biographique et d'action sur son héros Pancho VILLA, qui joue son propre rôle. Réalisé par Raoul WALSH – qui joue le rôle de VILLA jeune –pour un studio hollywoodien en 1914, le film, dont toutes les copies ont aujourd'hui disparu, mêle scènes de batailles réelles, et scènes de fiction – dont certaines batailles pour lesquelles le réalisateur avait besoin de plus d'images – brouillant allègrement la frontière entre réalité et fiction. Sur les deux clichés de chevauchée utilisées par Nick DEVEREUX, qui se suivent et se dédoublent, l'artiste a, à partir d'une sculpture recréant l'idée du mouvement, remplacé en dessin l'image de Pancho VILLA, creusant l'idée d'un individu rejouant son propre rôle.