Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Contre-Dépouille
Soleil Inscrit

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de girafe, tendue sur châssis
280 x 160 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de zèbre des plaines, tendue sur châssis
143 x 121 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de zèbre des plaines, tendue sur châssis
115 x 100 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de zèbre des plaines, tendue sur châssis
120 x 105 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
58 x 36 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de python de seba, corde, poteaux acier
90 x 458 centimètres
pièce unique

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
68.5 x 42 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
70 x 47 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
61.4 x 40.4 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
68 x 36 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
57 x 41 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
63 x 43.5 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
50 x 34 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
62 x 36 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Contre-Dépouille
2012
peau de springbok tendue sur châssis
64.5 x 36 centimètres
pièce unique

La série intitulée "Contre-Dépouilles" consiste en un ensemble de peaux animales tendues sur des châssis de format portrait, de sorte que la face visible du tableau soit la face intérieure de la dépouille de l'animal. Le titre renvoie autant à la série de gestes artisanaux et de savoir-faire techniques menant à l'exposition d'une dépouille (arts de la chasse, taxidermie, tannerie), qu'au vocabulaire de la sculpture classique, dans lequel un élément de ronde bosse est dit "de contre dépouille" lorsqu'il a nécessité l'assemblage de moulages multiples, dissimulant ainsi dans l'image de son unité une série de coupures. La série comprend une peau de serpent retournée sur un mobilier muséal, un cordon de mise à distance. L'image du seuil que matérialise le serpent retroussé se déplie ainsi à l'infini pour le regard qui tentera d'en comprendre le motif, c'est à dire l'usage instrumental ou la fonction ornementale.

Étienne Chambaud

Soleil Inscrit
2012
argile, laiton, poulie et taquet, ampoule, cable et prise électrique
pièce unique

Suspendue au centre de l'espace d'exposition, la pièce intitulée "Soleil Inscrit" se présente sous la forme d'une lampe sphérique. Réalisée en terre cuite, la lampe, parfaitement opaque, est allumée mais ne produit aucune lumière, si bien qu'il faudrait la casser pour qu'elle retrouve sa fonction. Issue des "arts du feu", elle localise dans l'espace d'exposition un point de vue panoramique depuis lequel considérer le paysage de l'exposition, le suspend d'un regard qui, détaché, se porte sur la totalité de l'espace. En cela, ce "soleil" est inscrit comme on le dit, en géométrie euclidienne, d'un angle inscrit dans un cercle, c'est-à-dire intégré à une figure qui l'inclut. Du regard panoptique que suggère cette lampe, on pourrait attendre qu'il vienne jeter sur l'exposition une lumière propice à l'explication.